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Newsletter du 01 décembre 2017
 par Jacques Rigaud


Après les errements inhérents à toute première version, le site du Photo-Club  d’Onet arbore une présentation « stabilisée ».

De plus, il se dote d’un forum, histoire de mettre à disposition des adhérents du photo-club, mais aussi avec des visiteurs extérieurs, une plateforme de communication moderne, en temps réel, moyen actuel d’échanger (chatter).

Du coup la rubrique « Critique Photo » n’aura plus sa place, les photos pour avis étant envoyées sur le forum et les conseils prodigués en retour.

Outre l’Edito qui disparaît (son contenu se justifiait pour la première parution mais beaucoup moins pour la suite), le Portfolio des membres trouve une place plus légitime dans le bandeau d’accueil. De même un onglet « Mises à jour » fait son apparition, permettant aux visiteurs réguliers d’être informés des modifications apportées (mise en ligne de nouvelles photos, d’un nouvel article etc…). Il occupera prochainement un emplacement plus visible encore, pour informer au fil de l’eau des changements dans la vie des chroniques.

De 10,  le nombre des photos mises en avant dans le reporting des concours mensuels passe à 5. Indirectement, une stimulation pour chaque participant à se dépasser…

De même les photos ayant fait l’objet d’un « coup de cœur »  du Jury passent à 3, et figurent dans la rubrique pendant 15 jours.

L’onglet « Spot Photo » s’est transformé en « Les Bons Coins photos », afin d’éviter toute ambiguïté avec des notions d’éclairage.

Vous trouverez tout ceci est résumé dans « mises à jour ».

Une petite équipe a participé au « stage » de 3 jours en Aubrac, début octobre. De belles images en sont revenues, la bonne ambiance était comme toujours au rendez-vous, le récit des aventures est en ligne dans la rubrique « Carnets de Voyages ».

Des cartes de visite du Photo Club portant le logo du site et son adresse Web (Url) ont été imprimées : elles sont à la disposition de celles et ceux qui veulent faire connaitre notre site autour d’eux.

Jacques rigaud


Ça y est je me suis abonné à Adobe Creative Cloud !
par Jacques Rigaud


 
Après avoir fait longtemps de la résistance, j’ai opté pour l’abonnement d’Adobe (prononcez adobi, c’est plus branché …) à l’annonce de la fin de Lightroom  en licence perpétuelle (propriétaire) qu’on achetait, donc (110€ environ) et qu’on mettait à jour (ou pas) moyennant 70.

J’ai possédé par le passé toutes les versions de Lightroom et ce depuis une dizaine d’années.

Or, Adobe a apporté ces derniers mois des améliorations au Lightroom  du Cloud sans les répercuter sur la version propriétaire. Malin…

Sur les réseaux, on a pu lire tous les commentaires possibles et imaginables de la part des pro-location et des anti-location. Parmi les arguments récurrents de ces derniers, l’urticaire provoquée par l’idée de devoir verser une rente à vie à une grosse entreprise libérale. Sauf qu’on peut interrompre le paiement quand on veut, et qu’on ne perd pas ses photos pour autant. Et que la contre-offensive s’organise avec les nouveaux logiciels reprenant quasiment point par point les fonctionnalités de Lightroom et de Photoshop. En licence perpétuelle, payante. Mais jusqu’à quand ?

Car le talent d’Adobe est d’avoir su mettre en route une véritable pompe à fric.

Jugez plutôt : en 2014, le chiffre d’affaires était de 1.8 milliards de dollars, dont 0.7 venait des licences perpétuelles et 1.1 milliards des abonnements. En 2017, le C.A. a atteint 4.2 milliards de dollars, les licences perpétuelles ne pesant plus que 0.2 milliards. Les abonnements représentent donc 4 milliards soit une progression de X 3.6 dont rêvent toutes nos entreprises du Cac 40 !

Et Adobe estime le marché à l’horizon de 2020 (dans 2 ans) à … 24 milliards de dollars.

Alors me direz-vous fort pertinemment « le Chiffre d’Affaires, c’est une chose, mais c’est le résultat qui compte ». Fort juste, à une époque où de gros trusts de plusieurs milliers de salariés annoncent des pertes abyssales ! Eh bien, le résultat net d’Adobe en 2016  s’est élevé à 399.6 millions de dollars soit une progression de 79%.

Pour de nombreuses personnes, le Cloud c’est un espace-disque. C’est vrai, mais ce n’est pas que cela ! C’est aussi des services comme l’intelligence artificielle qui va automatiquement mettre des noms sur des photos ou vous proposer un développement pour les mettre en valeur.

La stratégie d’Adobe repose sur 3 axes :
 
·         Le Creative Cloud, avec tout ce qui est créatif : Lightroom, Photoshop, Camera Raw, Première Elements, After Effect etc…
 
·         Le document Cloud : toute la gestion documentaire, dont Acrobat.
 
·         L’Expérience Cloud : là c’est vraiment autre chose, disons simplement qu’Adobe va connaître vos pratiques et vous fera des propositions d’outils (payants) personnalisées.

 
La stratégie pour atteindre cet objectif de 24 milliards en 2020 ? Vendre plus de services aux utilisateurs actuel, mais aussi en captant de nouveaux clients dont ceux qui utilisaient les licences perpétuelles, en variant les versions (LR Classic CC, LR CC) et les options (Illustrator, InDesign, XD, PremierePro etc…). Mais aussi les migrations de Photoshop Éléments, dont on peut douter de l’avenir…

C’est la technique Upsel, celle-là même utilisée par les constructeurs automobiles qui proposent une voiture en version de base à 9990€, mais « conseillent fortement » les options indispensables qui font grimper le prix à 15000€ avec un GPS, une roue de secours au lieu d’une galette, une couleur flatteuse…

Le prix des logiciels d’Adobe augmentera ne serait-ce que parce que nous trouverons l’une des nombreuses options proposées vaut bien les 1.99€ supplémentaires demandés !
Alors, me direz-vous, pourquoi me suis-je abonné à Adobe Creative Cloud ?

Principalement parce que je n’avais plus le choix avec la cessation de mises à jour de Lightroom.

Et puis pas envie de m’attaquer à réapprendre un  nouveau logiciel (Raw Therapee, ACD See Pro, Helicon etc…) !

Et parce que, mais c’est un avis personnel, 12€ par mois, pour un kit comprenant Photoshop, Bridge, Camera Raw, Ligh
troom pour mon ordinateur de bureau et Lightroom pour mon téléphone portable ou ma tablette, çà ne fera pas exploser mon budget ! J’ai souvenir du temps ou Photoshop, seul, en licence perpétuelle, se vendait 1200€ (soit 8 années d’abonnement) auxquels il fallait rajouter le prix des mises à jour.

Et que ça reste de fabuleux outils.

Jacques rigaud
L'Hybride va t'il tuer le Reflex?
par Jacques Rigaud



Alors que beaucoup pensaient le phénomène impossible il y a encore quelques mois, certains appareils hybrides, tel le Sony A9, proposent aujourd'hui un capteur Plein Format 24x36.
Et les autres hybrides à capteur APS-C et 4/3 affichent des performances insolentes.
Au japon, les hybrides représentent déjà plus de 45% des ventes d'appareils.

Alors, l'hybride sera t'il le "reflex killer" annoncé ?
Certainement, à moins que les constructeurs de reflex tels que Canon et Nikon, à force de sentir le vent de la balle, ne se décident à transformer leurs boîtiers en... hybrides. Car quelles sont les différences qui les opposent ?

Un boîtier hybride est doté d'un viseur électronique. Par rapport au viseur optique d'un reflex il n'y a plus de "pentaprisme", cet ensemble complexe de verres de visée au travers duquel on regarde. Ni de miroir qui renvoie l'image vers le pentaprisme et qui est motorisé afin que le
mécanisme lui permette de s'effacer lors de la prise vue. Tout cela pèse, encombre et est sujet à vibrations et à usure comme tout organe mécanique.

Dans un hybride, la lumière entre par l'objectif et imprime directement le capteur. Point barre !
Au lieu de voir la scène au travers du viseur, on la voit sur un écran (en forme de viseur...)

A côté de cela, l'image visualisée dans le viseur d'un reflex est généralement plus grande que celle d'un viseur d'hybride, de meilleure qualité et plus confortable

L'Auto Focus (AF) d'un reflex est plus rapide que celui d'un hybride (détection de phase pour le premier, détection de contraste pour le second). Si vous aimez les photos d'action ne vous séparez pas de votre reflex, plus rapide et mieux adapté...

Les systèmes des hybrides étant différents suivant les marques, les objectifs sont spécifiques et généralement plus chers. Leur gamme est actuellement plus courte que pour les reflex. On commence à trouver sur le marché des adaptateurs permettant d'utiliser des objectifs de reflex sur des hybrides, mais on perd généralement l'usage de l'AF.

Avantage des hybrides:

Plus légers, moins encombrants que le reflex.

Le viseur électronique fait apparaître des informations spécifiques lors de la visée (en sur-brillance les zones sous ou sur exposées avant de déclencher, par exemple, ou repères de mise au point).

Il est plus silencieux qu'un reflex (plus de miroir qui se lève et s'abaisse).

La mise au point est plus précise. Contrairement à un reflex, on distingue la profondeur de champ d'une image dans l'écran de visée.

Enfin, comme il y a moins de pièces dans un hybride, son prix, à performances égales, sera inférieur à celui du reflex aux performance comparables .

Conclusion:

A ce jour, si je dois remplacer mon boîtier, que dois-je faire?
Tout dépend de votre pratique, et de votre budget.
Si vous faite de la photo animalière ou de sport, repartez sur un reflex.
Sinon, pesez le pour et le contre car, même si un boîtier d'hybride est moins cher qu'un reflex équivalent (le Sony A9 coûte 1500€ nu), il faudra remplacer aussi votre parc d'optiques . Or le Sony 24-70mm f/2.8 vaut 2300€ et toutes les longueurs focales ne sont pas encore présentes au catalogue. Tout cela représente un coût, que ce soit chez Sony, Fuji ou les autres.
Il est clair que d'ici 10 ans, le reflex aura disparu du catalogue de nos marques préférées. Mais les nouveaux boîtiers intègreront la technologie des hybrides, de sorte que les objectifs que contient votre besace poursuivront leur belle existence.

En attendant, continuez à exploiter toutes les possibilités de votre reflex et choyez-le car ce n'est pas l'appareil qui fait de belles photos mais bien vous !

Et profitez des conseils de "l'atelier de Patrick" pour maîtriser toutes les possibilités de votre matériel.

Salut !

Jacques rigaud
 
LA NEWSLETTER
Par Jacques Rigaud


Exposition annuelle du Photo Club

Comme chaque année, le Photo Club expose les photos de ses adhérents, d'abord dans la salle de réception du château d'Onet, ensuite dans celle de la MJC, au 26 boulevard des Capucines.

Un axe de travail avait été proposé et adopté en début de saison 2016-2017:  "Désertification rurale et industrielle" (en 2015-2016 c'était "Gens d'ici").

Et, comme chaque année, l'espace "thème libre" permettait à chaque membre de présenter un ou deux de ses clichés préférés.

C'est au total 80 photos qui ont été accrochées aux cimaises du château lors de la fête annuelle des  2, 3 et 4 juin 2017.  

L'exposition a bénéficié d'une fréquentation record; les visiteurs se sont dits interpellés par les images de ces commerces ou églises, fermés depuis longtemps, qui émaillent notre beau département, comme dans beaucoup de territoires en France.

Les photos seront exposées à la MJC du 12 juillet à la fin août 2017.


Sortie photo septembre 2017

Un projet qui tient à cœur à "Dédé" Méravilles, dont la réputation d'amoureux de l'Aubrac (ses clichés en témoignent) n'est plus à faire: passer 3 jours et deux nuits sur le plateau,  au mois de septembre, dans un buron ou sous la tente, pour bénéficier des extraordinaires nuances de couleurs et de lumière qu'y réservent les levers du jour.  

La place habituellement occupée par la franche rigolade dans les sorties du club risque de trouver  son apogée lors des soirées à la belle étoile. Les soixante-huitards attardés qui sommeillent en beaucoup des membres (eh oui, l'âge, mon bon monsieur...) attendent l'évènement avec impatience, certains accordent déjà leur guitare...

L'Hybride va t'il tuer le Reflex?
Alors que beaucoup pensaient le phénomène impossible il y a encore quelques mois, certains appareils hybrides, tel le Sony A9, proposent aujourd'hui un capteur Plein Format 24x36.
Et les autres hybrides à capteur APS-C et 4/3 affichent des performances insolentes.
Au japon, les hybrides représentent déjà plus de 45% des ventes d'appareils.

Alors, l'hybride  sera t'il le "reflex killer" annoncé ?
Certainement, à moins que les constructeurs de reflex tels que Canon et Nikon, à force de sentir le vent de la balle, ne se décident à transformer leurs boîtiers en... hybrides. Car quelles sont les différences qui les opposent  ?

Un boîtier hybride est doté d'un viseur électronique. Par rapport au viseur optique d'un reflex il n'y a plus de "pentaprisme", cet ensemble complexe de verres de visée au travers duquel on regarde. Ni de miroir qui renvoie l'image vers le pentaprisme et qui est motorisé afin que le mécanisme lui permette de s'effacer lors de la prise vue. Tout cela pèse, encombre et est sujet à vibrations et à usure  comme tout organe mécanique.

Dans un hybride, la lumière entre par l'objectif et imprime directement le capteur. Point barre !
Au lieu de voir la scène au travers du viseur, on la voit sur un écran (en forme de viseur...).

A côté de cela, l'image visualisée dans le viseur d'un reflex est généralement plus grande que celle d'un viseur d'hybride, de meilleure qualité et plus confortable

L'Auto Focus (AF) d'un reflex est plus rapide que celui d'un hybride (détection de phase pour le premier, détection de contraste pour le second). Si vous aimez les photos d'action ne vous séparez pas de votre reflex, plus rapide et mieux adapté...

Les systèmes des hybrides étant différents suivant les marques, les objectifs sont spécifiques et généralement plus chers. Leur gamme est actuellement plus courte que pour les reflex. On commence à trouver sur le marché des adaptateurs permettant d'utiliser des objectifs de reflex sur des hybrides, mais on perd généralement l'usage de l'AF.

Avantage des hybrides:
Plus légers, moins encombrants que le reflex.
Le viseur électronique fait apparaître des informations spécifiques lors de la visée (en sur-brillance les zones sous ou sur exposées avant de déclencher, par exemple, ou repères de mise au point).
Il est plus silencieux qu'un reflex (plus de miroir qui se lève et s'abaisse).
La mise au point est plus précise. Contrairement à un reflex, on distingue la profondeur de champ d'une image dans l'écran de visée.
Enfin, comme il y a moins de pièces dans un hybride, son prix, à performances égales, sera inférieur à celui du reflex aux performance comparables .

Conclusion:
A ce jour, si je dois remplacer mon boîtier, que dois-je faire?  
Tout dépend  de votre pratique, et de votre budget.  
Si vous faite de la photo animalière ou de sport, repartez sur un reflex.  
Sinon, pesez le pour et le contre car, même si un boîtier d'hybride est moins cher qu'un reflex équivalent (le Sony A9 coûte 1500€ nu), il faudra remplacer aussi votre parc d'optiques . Or le Sony 24-70mm f/2.8 vaut 2300€ et toutes les longueurs focales ne sont pas encore présentes au catalogue. Tout cela représente un coût, que ce soit chez Sony, Fuji ou les autres.  
Il est clair que d'ici 10 ans, le reflex aura disparu du catalogue de nos marques préférées. Mais les nouveaux boîtiers intègreront la technologie des hybrides, de sorte que les objectifs que contient votre besace  poursuivront leur belle existence.  

En attendant, continuez à exploiter toutes les possibilités de votre reflex et choyez-le car ce n'est pas l'appareil qui fait de belles photos mais bien vous !

Et profitez des conseils de "l'atelier de Patrick" pour maîtriser toutes les possibilités de votre matériel.
Salut !

   
  

Journées Portes Ouvertes du Club à la MJC d'Onet le 9 septembre 2017
Par Jacques Rigaud


La MJC d'Onet le Château accueille les visiteurs le samedi matin 9 septembre 2017, afin de présenter les différentes animations proposées pour la nouvelle saison.

Le groupe du Photo Club d'Onet qui est hébergé dans les locaux de la MJC pour ses séances du vendredi aprés-midi, a proposé à sa directrice, Marie-Christine Cayla, de participer à cette manifestation en installant différents ateliers touchant aux différents domaines de la photographie. Proposition qui a été acceptée.
Informés de cette initiative par voie de presse, les visiteurs pourront trouver des interlocuteurs susceptible de les aider:

  • dans un projet d'achat d'appareil photo: faut-il acheter un compact, un hybride, un bridge, un reflex, pour faire tel ou tel type de photo? Les avantages et les inconvénients des différents types d'appareil, dont le téléphone portable. Quel est l'importance de la taille d'un capteur dans un appareil numérique ? Un atelier animé par André Méravilles.
  • Les principes de base de la photographie: le triangle d'exposition (ouverture du diaphragme, vitesse d'obturation, sensibilié Iso). Comment l'appliquer aux réglages de mon appareil photo ?  
  • La Prise De Vue en photographie et les règles de la Composition de l'image. La lumière, le cadrage. Les accessoires.
  • Transférer ses photos de l'appareil à l'ordinateur: quels logiciel faut-il ? Quel ordinateur ? Est-ce compliqué ?
  • Le traitement de l'image. Les formats JPeg et Raw, quelle différence ?
  • La retouche d'images.

Un atelier de studio sera installé avec éclairage aux flashes cobra pour réaliser des portraits de visiteurs . les clichés seront transmis par messagerie gratuitement les jours suivants ou imprimés sur papier-photo en format 30-40 au prix de 10€ et 30€ avec cadre.

Enfin un concours photo sera proposé aux jeunes de 8 à 14 ans. Munis d'un compact prêté, il prendront 2 clichés de leur meilleur pote. La photo gagnante permettra  à son auteur de remporter un appareil compact et de figurer sur le site du Photo Club et sur celui de la MJC.

En tout une dizaine de membres du club pour guider les visiteurs, en fonction de leur demande, vers les bons interlocuteurs (8 ateliers en tour).

Objectifs de cette manifestation: faire connaître l'activité photo de la MJC, celle du Photo Club d'Onet le Château, et apporter des réponses aux questions que les visiteurs se posent, sans les contraintes commerciales.
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